Lecture de la semaine
Ex 33:7–34:35; Dt 18:15, 18; Jn 17:3; Rm 2:4; Jn 3:16; 2 Cor 3:18.
Verset à mémoriser
«Et l'Éternel passa devant lui, et s'écria: L'Éternel, l'Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu'à mille générations, qui pardonne l'iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent, et qui punit l'iniquité des pères sur les enfants et sur les enfants des enfants jusqu'à la troisième et à la quatrième génération!» (Exode 34:6, 7, LSG).
Nous avons tous besoin de progresser dans notre marche avec Dieu. Sans cette croissance, notre vie spirituelle dépérit. L’apôtre Pierre nous exhorte ainsi: «Mais croissez dans la grâce et dans la connaissance de notre
Seigneur et Sauveur Jésus-Christ. À lui soit la gloire, maintenant et pour l’éternité! Amen!» (2 Pi 3.18, LSG).
Soyons donc disposés à grandir. Chaque jour, nous sommes inscrits à l’université de Dieu — une école sans diplôme final, mais où l’apprentissage est permanent. À chaque étape de cette croissance, nous pouvons être rendus parfaits si nous laissons Dieu nous transformer, afin de devenir, en Christ, la personne qu’Il nous appelle à être.
Imaginez une école: un élève de première année qui apprend à lire et à compter jusqu’à 100 recevra une bonne note, car à ce stade de développement, ses connaissances sont considérées comme parfaites. En revanche, si un lycéen ne maitrisait que ce niveau de savoir, cela révélerait un grave échec dans son parcours éducatif. Il en va de même pour notre croissance dans la grâce et dans la connaissance de Dieu: à chaque étape de notre cheminement, nous pouvons atteindre une perfection relative, tout comme Christ fut parfait dans la sphère qui était la Sienne.
Cette semaine, nous étudions comment Moïse, en connaissant et en suivant les instructions de Dieu, grandissait dans sa marche avec l’Éternel.
*Étudiez cette leçon pour le sabbat 20 septembre.