Lisez Ellen G. White, « L’assemblée de Sichem », pp. 458-561, dans Patriarches et prophètes.
« Obéissant aux directives laissées par Moïse, on érigea sur le mont Ébal un monument fait de grandes pierres. Sur ce monument, préalablement couvert d’une couche de chaux, on inscrivit les dix préceptes que Dieu avait gravés sur les tables de pierre placées dans l’arche et les lois que Moïse avait écrites dans un livre. À côté de ce monument, on éleva un autel de pierresbrutes sur lequel on offrit des sacrifices à l’Éternel. Le fait que cet autel étaitbâti sur le mont Ébal, d’où émanait la malédiction, était significatif, car il rappelait qu’Israël, ayant encouru la juste colère de Dieu, eût été frappé sans l’expiation du Fils de Dieu représentée par l’autel des sacrifices. » Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 459.
« Le service de communion ne doit pas faire naitre la tristesse; ce n’est pas dans cette intention qu’il a été établi. Il ne faut pas, quand les disciples du Seigneur se réunissent autour de sa table, qu’ils passent leur temps à se lamenter au sujet de leurs déficits spirituels; ni qu’ils s’arrêtent à considérer leur expérience religieuse passée, encourageante ou non. Ils ne doivent pas davantage se souvenir de leurs différends. Tout cela a été effacé par le service préparatoire. On s’est examiné soi-même, on a confessé ses péchés, tous se sont réconciliés. Maintenant on va au-devant du Christ. On ne se tient pas à l’ombre de la croix, mais sous la lumière salvatrice de celle-ci. Chacun doit ouvrir son âme aux rayons lumineux du Soleil de justice. » Ellen G. White, Jésus-Chris p. 662.
Discussion:
Que signifie pour vous le fait de chercher d’abord le royaume de Dieu? Comment ce principe façonne-t-il votre vie quotidienne?
Revoyez votre réponse à la dernière question de mercredi sur la facilité avec laquelle il est possible d’oublier le Seigneur au milieu de l’agitation quotidienne de la vie. En classe, discutez des raisons pour lesquelles c’est si facile à faire. Quelles solutions proposez-vous?
En tant qu’adventistes, nous croyons que Jésus exerce Son ministère en notre faveur dans le sanctuaire céleste. Comment cette conviction peutelle être une source constante d’espérance et de force? Pourquoi le fait de savoir que c’est Jésus qui est là-haut en train d’intercéder (Heb 7:25) pour nous devrait-il nous aider à comprendre à quel point Son œuvre dans le sanctuaire céleste est une bonne nouvelle, surtout maintenant en ce Jour des expiations antitypique?