Le livre de l’Apocalypse se réfère à Jésus comme « l’Agneau » près de trente fois. Depuis les premiers jours du plan de rédemption, le peuple de Dieu a utilisé des agneaux comme symbole du Messie à venir. Abel offrit les « premiers-nés de son troupeau » (Gen 4:4, LSG), et avant qu’Israël ne quitte l’Égypte pour la terre promise, ils furent instruits de racheter chaque premier-né, qu’il soit humain ou animal, avec un agneau d’un an (Exo 12:5).
Certains ont critiqué tout le concept du sacrifice, affirmant qu’il est cruel, dur, et, en un sens, injuste. Pourtant, leur argument soutient de manière précise la raison d’être du sacrifice. La mort de Christ a été cruelle, dure, et injuste – l’innocent mourant pour les coupables. C’est ce qu’il a fallu pour résoudre le problème du péché. Et cette mort, celle de Christ, était ce que tous ces sacrifices durs, cruels, et injustes annonçaient.
Parfois, comparer deux idées peut être très instructif. On peut beaucoup apprendre sur la nature du sacrifice dans la perspective biblique lorsqu’on examine les moments où Dieu a rejeté les sacrifices de Son peuple.