Lisez Ellen G. White, «La Pâque», pp. 235–240, dans Patriarches et prophètes.
«La Pâque devait être une fête à la fois commémorative et préfigurative. Non seulement elle rappelait la délivrance de la servitude égyptienne, mais elle préfigurait la suprême délivrance que Jésus devait apporter au monde. L’agneau du sacrifice représentait “l’Agneau de Dieu”, notre unique espérance de salut. Par son immolation, dit l’apôtre Paul, le Christ est devenu “notre Pâque”. Mais il ne suffisait pas que l’agneau pascal fût immolé; il fallait que son sang fût aspergé sur les poteaux de la porte. C’est ainsi que les mérites du Sauveur sont imputés aux âmes croyantes. Jésus a non seulement donné sa vie pour le monde, mais pour chacun individuellement, à condition qu’il s’approprie les mérites de son sacrifice expiatoire.» Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 237.
À ce jour, des familles juives pratiquantes du monde entier célèbrent la Pâque, ou Pesach. Elles tiennent ce qu'on appelle un «Seder de Pâque» («Seder» signifiant «ordre/arrangement»), au cours duquel elles racontent l'Exode puis partagent un repas spécial en famille. C’est étonnant que cela se célèbre depuis, littéralement, l'époque de l'Exode! Seul le sabbat du septième jour, que les Juifs observateurs respectent également, remonte encore plus loin dans l'Antiquité.
Discussion:
Comment pouvons-nous comprendre la «justice» de l’Éternel en frappant les premiers-nés, dont beaucoup étaient surement «innocents»? Comment concilier cela avec la réalité puissante de l’amour de Dieu? Pensez aussi au Déluge. Comment le comprenons-nous?
Que signifie l’affirmation symbolique selon laquelle les croyants sont couverts par le sang de Jésus et que son sang les purifie de toutes leurs iniquités?
Lisez les paroles suivantes: «Les disciples de Jésus sont appelés à faire la même expérience. Ils doivent recevoir et s’assimiler la Parole de Dieu de telle façon qu’elle devienne le mobile de tous leurs actes.À moins de manger la chair et de boire le sang du Fils de Dieu, il ne saurait y avoir en eux de vie spirituelle. C’est à cette condition seulement qu’ils seront transformés à son image et pourront reproduire ses divins attributs.» Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 238. Comment permettons-nous à Christ d’accomplir en nous ce qui est écrit ici?