Ellen G. White, « Le passage du Jourdain », pp. 443, 444, dans Patriarches et prophètes.
« Méditez attentivement sur les expériences d’Israël au cours de sa traversée vers Canaan. Portez une attention particulière aux chapitres 3 et 4 du livre de Josué, en observant comment le peuple s’est préparé et a franchi le Jourdain pour entrer dans la terre promise. Gardons notre cœur et notre esprit en éveil, en ravivant constamment notre mémoire par les leçons quel’Éternel a transmises à Son peuple autrefois. Ainsi, comme Il l’avait voulu pour eux, les enseignements de Sa Parole resteront pour nous à la fois vivants, riches de sens et profondément marquants. » (Voir, Ellen G. White Comments, The SDA Bible Commentary, vol. 2, p. 994.)
« Le peuple d’Israël moderne court un risque encore plus grand que l’ancien Israël: celui d’oublier Dieu et de sombrer dans l’idolâtrie. Aujourd’hui, de nombreuses idoles sont vénérées, y compris par ceux qui observent le sabbat. Dieu avait expressément ordonné à Son peuple d’autrefois de se préserver de l’idolâtrie, car s’il se détournait du Dieu vivant, Sa malédiction s’abattrait sur lui. En revanche, s’il L’aimait de tout son cœur, de toute son âme et de toute sa force, Dieu promettait de bénir abondamment ses champs et ses greniers, et d’éloigner la maladie du milieu de lui. » (Voir, Ellen G. White, Testimonies for the Church, vol. 1, p. 609.)
Discussion:
Discutez de la traversée miraculeuse du Jourdain avec votre classe. Comment définiriez-vous les miracles? Pourquoi semble-t-il que Dieu n’accomplit pas de miracles similaires aujourd’hui?
Quelles pratiques concrètes pouvez-vous mettre en œuvre dans votre classe pour prévenir l’oubli spirituel, tant sur le plan individuel que communautaire? Bien qu’il soit essentiel de cultiver une relation vivante et continue avec Dieu, sans fonder toute notre vie chrétienne uniquement sur des expériences marquantes du passé, comment pouvons-nous tout de même nous appuyer sur ces souvenirs pour nous rappeler la manière dont Dieu a agi dans nos vies?
À votre avis, comment le sabbat peut-il, d’une part, nous aider à nous souvenir des interventions de Dieu dans nos vies et, d’autre part, nous donner un avant-gout du repos promis dans Son royaume? Comment le sabbat indique-t-il non seulement ce dont nous sommes censés nous souvenir, mais aussi ce que nous pouvons espérer à l’avenir?